Moi une mort lente, par strangulation m'interresserait, je veux pouvoir voir ma vie défiler, je voudrais que l'artère ET la veine soient bouchées simultanément que que mon cerveau soit déja en manque d'oxygène pour éviter toute douleur, par la suite, j'opterais pour que mon agresseur me démembre, arrache mes muscles, sépare mes os, déchire ma chaire, détruise mes articulations, sépare mes artères, entasse mes veines, explose mes globes occulaires et fasse don de mes organes à un hôpital dans des délais brefs, pour finalement m'enterrer clandestinement.
Pas assez de détails ?
Je vais vous décrire mes impressions, sentiments pendant la strangulation, pour commencer, je sans le fil de pêche entourer précautionneusement (oupah) ma gorge, je le sens se tendre entrainant tout de même quelques douleurs dans mon cerveau qui manque d'oxygène, je me débat, mais rien à faire, mon assayant tient bon, je me vide progressivement de mon energie, et pendant qelques instnts, ma vie défile, rapidement et totalement devant moi, même des souvenirs totalement disparus comme celui de ma fugue, de la tentative de viol, et le sang perce l'artere, il est trop puissant pour être arrété par un obstacle, il transperce ma gogre dans une douleur cuisante, je suiffre, mais pas le martyr, comme si je ne pouvais rien faire, comme si mon corps se décourageait, il ne resistait plus à rien, et d'un coup, je m'effondrai, au début secouée de petites convulsions puis, plus rien, il ne restait qu'un corps vide, sans vie....
Ven 27 Avr - 20:40 par 
